Dans un entretien donné donné hier à la BBC, le numéro 1 mondial du Tennis, Novak Djokovic suscite la surprise de médias qui persistent dans le mensonge officiel. Rivalisant d’articles infondés, ils nient les évidences : par dizaines, des sportifs de haut niveau déclarent forfait, voient leurs performances drastiquement baisser, font des malaises soudains ou, carrément, meurent en plein effort.
C’est récurrent, affirment en chœur des médias corrompus par l’argent des labos, comme l’affirme le professeur Laurent Mucchelli, auteur de l’ouvrage « La Doxa du Covid ». Commode, en effet, de refuser d’investiguer quand on supprime toutes les traces liant effets secondaires et vaccins. Où est le journalisme quand on évite de poser au champion du monde la moindre question concernant sa position sur la vaccination lorsqu’il a été interdit d’entrer en Australie ?
Un vacarme médiatique muet sur un détail
Etonné, Djokovic s’en explique à la BBC : il préférerait préserver sa santé plutôt que de participer à Roland Garros ou à Wimbledon si on l’obligeait à se faire vacciner. D’autant qu’il est hors de question de revivre ce qu’il a subi en Australie, et dont on lui a fait payer la facture exhorbitante, révèlent aujourd’hui les médias. « Novax » Djokovic précise : pas contre les vaccins par principe, respectueux de ce qui est fait en matière de santé pour les personnes à risque, il considère que la sienne ne concerne que lui. Il soutient « la liberté de choisir ce que l’on met dans son corps ».
Très attentif, en tant que sportif de très haut niveau, à ce qu’il ingère et même à l’eau qu’il boit, il préconise l’arrêt des sucres raffinés, du gluten, de la viande rouge et des produits laitiers. Sur la base des informations qui sont les siennes à ce jour (car il n’exclut pas de changer d’avis si une solution viable se présentait), il a décidé de refuser de se faire administrer l’injection expérimentale contre le covid.
Aucun média n’a parlé du fond
Mais le vrai fond de l’affaire, abordé par aucun média, c’est celui de Rio Tinto, l’exploitant minier de lithium, celui qui sert aux véhicules électriques que Davos aimerait vous vendre pour sortir du pétrole. Résistant, le champion du monde ne se gêne pas pour dénoncer la corruption d’intérêts qu’il a réussi à déloger de Serbie, son pays d’origine.
Si j’étais journaliste, je creuserais les liens qui existent entre Rio Tinto, l’Australie, désormais premier producteur mondial de lithium devant le Chili, et un certain ministre membre du board de la compagnie minière. Mais évidemment, je ne suis pas journaliste. Pas plus que Djokovic n’est champion du monde de tennis. Empêché de participer aux principaux tournois, il est « prêt à payer le prix » pour préserver sa santé, « plus importante que n’importe quel trophée ». Bravo champion !